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Titre : Les Ombres errantes
Auteur : Pascal Quinard
Date : 2002
Nombre de pages : 187

  • Intrigue

Premier tome de « Dernier royaume », Pascal Quinard visite dans une sorte de roman-essai les thèmes du langage, du passé de la mort et tout particulièrement de l’ombre.

Il aura le prix Goncourt 2002 pour ce livre. Il en est au septième tome de son oeuvre « Dernier royaume ».

  • Ce que j’en ai pensé

Ce livre fait partie de mon challenge ABC Babelio…il représente la lettre Q (lettre difficile à trouver, il faut le dire !). J’avais beaucoup aimé «Tous les matins du monde» de Pascal Quinard et j’ai voulu retenter l’expérience.

Et bien…ma critique va être courte. Très courte.

J’ai été très déçue. Je n’ai pas réussi du tout à rentrer dans ce livre.

C’est donc une sorte de roman-essai qui évoque le passé figé (avant lui), le passé qui est en mouvement (son propre passé qui est donc plus récent) et le langage qui, lui est précaire.

La forme de cet ouvrage est très particulière. On peut dire que ce livre n’est fait que de digressions et de fragments. On passe de méditations de l’auteur à des scènes historiques avec Clovis, le dernier roi des romans, ou encore Emily Brontë.

Il y a de très beaux passages, où je me suis arrêtée stupéfaite et où je reconnaissais l’auteur qui m’avait tellement plu avec «Tous les matins du monde». Mais sinon…j’ai vraiment eu du mal à finir.

J’ai failli arrêter plusieurs fois ma lecture,mais il s’agissait de Pascal Quinard, auteur que j’avais beaucoup apprécié il y a quelques mois et en plus c’est un prix Goncourt (et quand on ne comprend rien à un prix Goncourt, on ne peut pas s’empêcher à se sentir un peu idiot)…donc j’ai continué et je l’ai terminé.

Mais cela a été peine perdue. Et je ne vais pas retenter l’expérience avec les tomes suivants de son œuvre « Dernier royaume ».

Dommage.

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  • Extraits

Souvenez-vous que les récompenses temporelles ne sont pas dignes de ceux qui servent le « roi immortel des siècles ». Souvenez-vous qu’il est heureux de perdre ce qu’il n’est pas permis d’aimer.
Le roi immortel des siècles est la mort.

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